Pourquoi une séparation peut-elle être si difficile ?

Vous êtes en instance de divorce ? Vous souffrez d’une séparation et vous ne comprenez pas votre douleur ? C’est possible car cela provient souvent d’un autre trauma… d’une autre peine de coeur.

Peine de coeur

L’origine peut être systémique

En souffrant, vous rappelez une histoire non close et digérée. Voici quelques exemples.

  • Vos parents ont perdu des enfants ? Vous confondez votre partenaire et votre frère ou soeur. De vous séparer de votre mari ravive la douleur de la perte de votre frère. Inconsciemment bien sûr. Ce cas est, de loin, le plus fréquent.
  • Vous êtes une femme et votre grand-mère a perdu son père jeune ? Votre séparation entre un homme et une femme ravive l’événement tragique de la perte du père de votre mère. Dans son cas, un homme s’en est allé et le départ a été douloureux.
  • Vous êtes un homme et votre mère a connu un homme avant votre père ? Vous êtes identifiés à ce premier amour, surtout si la séparation a été difficile. Vous ravivez la souffrance de votre mère. C’est le même cas si elle a perdu un frère… a qui vous êtes identifiés.
  • Vous êtes une femme et votre père a quitté une femme pour se marier avec votre mère ? Vous êtes identifiés avec cette première femme. Vous ravivez sa douleur pour la rappeler. Si votre père a connu une maîtresse pendant le mariage, vous pouvez être toujours attiré par des hommes indisponibles.

Le mouvement interrompu vers la mère

Cette difficulté de revenir à soi peut provenir d’une naissance difficile ou d’une séparation précoce. La séparation avec le partenaire ravive la séparation primitive avec la mère… Vous confondez votre partenaire avec votre mère, que vous soyez un homme ou une femme.

Des traumatismes personnels

 Enfin, nous avons les traumatismes personnels. Parmi les plus courants…

  • Vous avez connu un grand amour, un partenaire précédent qui est mort ou qui a fait une tentative de suicide ? C’est courant quand vos parents ont perdu des enfants. Vous recherchez l’âme sœur.
  • Vous avez perdu un enfant, mort jeune, fausse couche ou avortement ? Dans ce cas, vous ravivez la douleur de la perte de l’enfant. Souvent, vous préférez rester en colère contre le partenaire et la séparation est… interminable tant que le deuil de l’enfant n’est pas effectué.

Comment faire pour aller mieux ?

Choisissez la thérapie correspondante :

  • Constellations familiales pour l’origine systémique.
  • Thérapie de l’étreinte pour le mouvement interrompu.
  • EMDR pour les traumatismes dont vous avez un souvenir.
  • Vous pouvez toujours faire de l’EFT en répétant « même si je souffre de cette séparation, je m’aime et je m’accepte complètement et profondément ».
  • Un protocole de PNL pour vous défaire le lien.

Vous vous sentez concernés ? Ecrivez-moi.