J’ai de la valeur. En-êtes vous persuadé ?

« Je n’ai pas de valeur » ou « je suis nul » est une des croyances négatives les plus répandues. Est-ce votre cas ?

Nous allons prendre cet exemple pour aborder le thème des croyances négatives, celles qui vous pourrissent la vie. Je me suis appuyé sur le livre de Francine Shapiro sur l’EMDR pour les différents types de croyances.

Les différentes croyances négatives

Elles sont regroupées en 3 thèmes : la valeur, la sécurité et la puissance. Voici les plus courantes dans chaque thème.

Je n’ai pas de valeur

Voici d’autres croyances sur le thème « je suis ou j’ai fait quelque chose de mal » : Je suis nul, je suis terrible, je suis horrible, je mérite de mourir, je ne suis pas aimable, je suis stupide, je ne suis pas capable de… ou je ne mérite pas…

Je suis en danger

Dans ce cas, nous avons peur en permanence : Je ne suis pas en sécurité, je ne peux faire confiance en personne, je ne suis pas en paix… Cela vient souvent d’événements dramatiques de l’enfance (séjours répétés à l’hôpital, enfants battus…) ou d’un trauma unique très fort (accident de voiture, incendie, agression…).

Je suis impuissant

Souvent, c’est suite à une situation, répétée ou non, qui a eu lieu dans notre enfance, quand nous étions petit. Quelquefois, l’enfant veut sauver ses parents ou ses frères et soeurs, alors qu’il est tout petit : Je ne peux pas me faire confiance, je ne suis pas à la hauteur, j’aurais du faire quelque chose, je ne peux pas réussir, je suis coupable.

D’autres croyances courantes

Voici d’autres croyances que j’ai souvent observées qui ne sont pas dans le livre de F. Shapiro

  • Je ne peux pas le supporter : cette croyance fonctionne bien et possède un sceptre assez large, les parents, les conjoints, les enfants, les collègues de bureau, votre supérieur hiérarchique, vos clients fils à maman ou à papa ou ceux qui veulent mourir et adorent la contradiction.
  • Je ne peux pas me pardonner : j’aime prendre cette croyance dans le cas d’avortement. La personne est coupable et responsable, mais elle est humaine et peut se pardonner. Elle a fait du mieux qu’elle a pu.
  • Je ne peux pas guérir. Je l’utilise dans le cas de maladie, avec « je ne peux pas le supporter ».

Passons au positif…

Les croyances positives associées

Quelles sont les croyances positives correspondantes ? Ceci n’est pas facile, en voici quelques unes :

J’ai de la valeur

Vous avez de la valeur parce que vous êtes humain et en vie, tout simplement, non à cause de vous, mais parce que vous faites partie de l’humanité. Robert Dilts précise : je te vois, tu me vois, je suis unique, j’ai de la valeur, je peux contribuer…

Vous pouvez vous répétez en boucle : je suis bien comme je suis, je peux m’aimer comme je suis, je mérite de vivre, je peux réussir, je peux être heureux, je m’aime et je m’accepte complètement et profondément, phrase clé de l’EFT, j’ai fait du mieux que j’ai pu, je peux me pardonner.

Je suis en sécurité

Cette croyance positive est importante : je suis en sécurité, je sais à qui je peux faire confiance, je peux être en paix, même si tout s’agite autour de moi. C’est le premier pas pour avoir confiance dans l’univers.

J’ai des choix

Le contraire de l’impuissance… et de l’irresponsabilité. J’ai des choix, je peux réussir, je peux me faire confiance. Je préfère ces croyances « douces » à « je suis fort ».

Faites votre marché pour guérir

Quelles sont les croyances négatives qui vous mettent le plus en détresse ? Quelles sont les croyances positives auxquelles vous ne croyez pas ?

Sélectionnez les 3 croyances négatives qui vous mettent le plus en détresse. Ensuite, faites un pont d’affect pour retrouver l’événement original. Si vous ne trouvez rien, allez voir un thérapeute pour le retrouver ou pour découvrir un traumatisme transgénérationnel. Vous pouvez aussi vous trouver nul et avoir envie de mourir parce que vos parents ont perdu un enfant, parce que vous avez un frère ou une soeur morte. Cet événement n’est pas personnel, il est systémique.

Sinon, vous pouvez utiliser cette liste en partant des événements qui vous traumatisent encore aujourd’hui et trouver la croyance négative qui vous met le plus en détresse et la positive auquelle vous ne croyez pas… encore.

Pour aller plus loin

De Robert Dilts

A été un élève du célèbre Milton Erickson et donne toujours des séminaires très intéressants :

Richard Bandler et John Grinder

Ont créé la PNL. Leurs livres sont très clairs. En voici un de base..

Transe-formations : Programmation Neuro-Linguistique et techniques d’hypnose éricksonienne

Francine Shapiro

A créé l’EMDR, voici un livre de base et son dernier livre en anglais où elle parle des croyances.

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Comment prendre du recul sur ses émotions ?

Qu’est-ce que cela vous fait d’être en colère ? La question vous paraît saugrenue ? Elle vous permet pourtant de prendre du recul sur vos émotions.

Il est utilisé dans le protocole des addictions de R. Dilts pour surmonter le « craving », l’envie pressante de consommer.

Ce protocole très simple utilise 3 positions au sol et un aller retour

Prenez 3 papiers que vous mettez au sol. Inscrivez si vous voulez sur chaque papier : état initial, recul et centré. L’état centré est éloigné de l’état de recul.

Vous allez faire un chemin aller (1. retour en arrière), de l’état initial au centrage et un retour (2. aller en avant), du centrage à l’état initial.

1. En arrière

1.1 Quelle est la situation stimulante de votre état ?

Prenez une situation qui vous met dans un état « pas possible ». Voici quelques exemples.

  • Vous avez envie de fumer et vous ne fumez pas.
  • Votre ami vous demande « tu m’aimes ? »

Vous avez l’embarras du choix. Ensuite notez votre sensation quand vous êtes dans cette situation.

  • Je ressens un vide dans l’estomac.
  • Je suis complètement abattu.

C’est important pour la suite, pour la question suivante. Reculez maintenant sur le papier « recul ».

1.2. Qu’est-ce que cela vous fait de vous voir dans cet état ?

C’est la question de Virginia Satir « qu’est-ce que cela te fait d’être en colère, ou triste, ou peureux ? » Quand vous êtes sur la position dite « recul », posez-vous la question suivante une première fois.

Quand tu vois X qui a envie de fumer et qui ressent cette boule à l’estomac, que ressens-tu et qu’as tu envie de lui dire ?

Vous êtes ainsi dissocié, vous prenez du recul sur vous-même en étant sur un papier différent. Notez la réponse « elle est bête, stupide, elle fait toujours la même chose, elle pourrait changer de stratégie… » La plupart du temps, ce message n’est pas très empathique. C’est pour cela qu’il est important de se centrer.

1.3. Se centrer

Retrouver un état agréable, un lieu sûr, chez vous au chaud, sur une plage, avec votre chien ou votre chat… Décrivez  cet état et ancrez-le avec un geste.

  •  je me sens « indéboulonnable » et j’ai les 2 pieds ancrés au sol.
  • je me sens légère et mes 2 mains font des papillons.
  •  je me sens détendu et je me mets la main sur le coeur.

 Restez dans cet état dit « centré » et entamez le retour.

2. Le retour

Vous allez vous donner un conseil en restant centré.

2.1 Qu’est-ce que cela vous fait de vous voir dans cet état, en étant centré ?

Revenez sur le papier « je reste centré » et posez-vous cette question :

Avec cette légèreté, détente, indestructibilité, que puis-je dire à X qui ressent, par exemple, une boule à l’estomac ?

Laissez venir un conseil, en étant centré. Voici quelques réponses possibles : respire, va faire un tour dehors, téléphone à un ou une amie, bois un verre d’eau, etc.. Notez ces réponses.

2.2 Retour à la case départ

Revenez au papier de départ « position initiale » et recevez le message que vous avez noté.

Je suis face à la situation initiale, et une petite voix me dit « respire… » Quel effet me fait ce conseil ?

Et voilà, vous avez fait l’aller et le retour. Vous avez pris du recul sur vos émotions. Qu’est-ce que cela vous fait d’avoir été capable de prendre du recul sur vos émotions ?

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Utiliser un pont d’affect pour retrouver le trauma originel

Comment retrouver un trauma à l’origine d’un comportement indésirable ? C’est simple, par un pont d’affect, technique indispensable des thérapies brèves telles que l’hypnose éricksonienne ou l’EMDR.

Cette technique, aussi appelée « floatback », est développée par Francine Shapiro dans son dernier livre sur l’EMDR Getting Past Your Past: Take Control of Your Life With Self-Help Techniques from EMDR Therapy. Elle conseille à chaque personne de faire la liste de ses traumas passés et des événements actuels ou récents avec qui vous n’êtes pas en paix. Ici, nous partons d’un événement récent pour trouver les liens avec le passé non recomposé et à traiter.

1. le point de départ

Partez d’un événement récent ou d’une croyance négative qui vous déstabilise. Voici quelques exemples :

  • La dernière fois que j’ai vu ma mère.
  • Je pense que je suis bloqué (e).
  • Je ne peux pas réussir.
  • Un client a annulé sans me prévenir.
  • Ma dernière formation en communication non violente.

Si vous n’avez qu’un événement, trouvez la croyance négative ou la sensation associée (une boule dans la ventre, un blocage dans la gorge…)

2. Parcourez le pont vers le passé

Cumulez une image (du dernier événement), le dialogue interne (la croyance négative) et la sensation dans le corps. Fermez les yeux. et laissez-vous retourner dans votre passé.

En hypnose, dans le protocole de Restructuration d’Histoire de Vie appelée RHV, il est suggéré de prendre un moyen de locomotion  (un tapis volant, un autobus, un vélo, un train..) qui favorise ce retour dans le passé.

Notez les événements qui vous viennent à l’esprit et le niveau de détresse associé (appelé SUD pour Subjective Unit of Distress). A 0 pas de détresse, à 10, vous êtes en pleine détresse.

3. Notez les événements les plus traumatisants

En laissant venir des images ou en sortant de votre moyen de transport, listez les traumatismes les plus anciens avec le niveau de détresse le plus élevé. Vous pouvez aussi noter votre âge. Voici quelques exemples.

  • A 6 ans, je suis sur le tapis de la salle à manger pendant des tirs d’obus en Algérie. SUD 7
  • A 7 ans, je retourne à l’internat militaire le dimanche soir. SUD 10
  • A 10 ans, je suis seul à l’hôpital. SUD 5

4. Placez ces événements à côté des événements récents

Ceci, afin de tenir à jour la liste des événements à pacifier. Vous pouvez rajouter la croyance négative associée à ces événements du passé. La plupart du temps, c’est la même que l’événement de départ.

  • A 6 ans. Je suis en danger. SUD 10
  • A 7 ans. Je suis impuissant. SUD 7
  • A 10 ans. Je ne peux pas le supporter SUD 5

Le niveau de détresse peut aussi changer en fonction de la croyance négative.

La suite ?

Cela dépend du niveau de détresse de votre trauma et de votre capacité à rester zen. Si le niveau de détresse est égal ou supérieur à 5, si vous n’arrivez pas à vous centrer facilement en pensant à un lieu sûr, faites appel à un thérapeute.

Pour aller plus loin

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Souffrez-vous d’insomnie ?

Voulez-vous dormir comme un bébé ? Les troubles du sommeil touchent 20% de la population et peuvent avoir plusieurs causes : transgénérationnelles ou personnelle.

Quelles sont les idées reçues les plus fréquentes, quels sont les symptômes et comment résoudre ces troubles par des thérapies brèves ?

Les idées reçues

  • Vous ne fermez pas l’oeil de la nuit ? Les insomniaques ne se souviennent pas des périodes de sommeil. en réalité, ils bénéficient de période de sommeil.
  • On a besoin de moins de sommeil avec l’âge ? Seulement le rythme change. Plus de siestes et le sommeil vient plus tôt dans la soirée.
  • Le sommeil avant minuit compte double ? Il favorise le sommeil lent profond qui repose le corps. Le sommeil paradoxal, qui favorise le fonctionnement du cervau, augmente plus tard.
  • Compter les moutons aide à s’endormir ? Videz plutôt votre cerveau en vous imaginant dormir dans les bras de votre ange gardien.

Quelques symptômes de troubles du sommeil

  • Avez-vous du mal à vous endormir ? Vous repoussez peut-être le moment de vous allonger. Cela peut venir de votre peur de mourir (si je m’allonge, je meurs) lié à un syndrôme d’Hamlet ou du film d’horreur que vous venez de voir à la télévision.
  • Vous vous réveillez vers 3 heures du matin ? C’est l’heure du foie (entre 1 et 3 heures) en Médecine Traditionnelle Chinoise. Il se remet à fonctionner pour votre réveil. Alors mangez léger avant d’aller vous coucher, jeûnez ou nettoyez votre foie.
  • Vous vous réveillez de manière aléatoire ? Vous vous faites du souci pour quelqu’un ou un événement particulier vous trotte dans la tête.

Quelques trucs

  • Réassocier votre lit au sommeil. Levez-vous si vous n’arrivez pas à dormir et ne vous recouchez que si vous avez envie de dormir. 70% des personnes ont des résultats positifs en 2 à 3 semaines.
  • Faites ce dont vous avez le moins envie de faire quand vous vous réveillez la nuit : repassez votre linge, faites votre comptabilité, passez le balai (et non l’aspirateur pour ne pas réveiller vos voisins…). Cette technique a été préconisée par Milton Erickson.
  • Prenez le temps de vous relaxer avant d’aller vous coucher : tisanes, douche, musique, bougie…
  • Respectez votre rythme circadien en vous calant sur votre cycle de sommeil d’une heure et demie à deux heures en fonction des personnes.

Quelques thérapies brèves

Vie saine, hypnose, EMDR et constellations familiales résolvent la plupart des insomnies.

  • Mangez léger et respectez votre foie en évitant de manger copieusement du gras ou de boire de l’alcool le soir. Pratiquez la réflexologie.
  • Anticipez votre sommeil grâce à l’hypnose.
  • Nettoyez vos traumas par la pratique de l’EMDR. Vous pouvez le pratiquer pour vous, comme l’EFT, avant de dormir.
  • Soyez en paix avec votre famille grâce aux constellations familiales. Vous accepterez d’être en paix avec les morts et les vivants, tout en étant allongé.

Pour aller plus loin

En français

En anglais
Des liens intéressants

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Comment résoudre vos contradictions internes en une demi-heure ?

Voici un protocole de PNL simple qui vous permet de monter dans l’échelle de vos valeurs pour résoudre une ambivalence apparente. En montant dans votre échelle des valeurs, vous résolvez une contradiction interne entre 2 valeurs apparemment contradictoires.

Ce protocole est très intéressant dans le cadre d’une thérapie brève pour traiter des dépendances (drogues, alcool, tabac, jeux, alimentation…)

Il fait partie d’une série de protocoles inventée par Robert Dilts pour traiter les addictions qui s’inspire du programme des Alcooliques Anonymes.

La contradiction interne existe dans le cas de dépendance

Prenons l’exemple d’une personne qui fume. Elle fume et a envie d’arrêter de fumer :

  • Elle fume pour une bonne raison, la raison 1 (pour le plaisir, pour se calmer, pour être en paix…).
  • Elle veut arrêter de fumer pour une bonne raison aussi, la raison 2 (pour être en bonne santé, pour être libre, pour contribuer au bien-être de sa famille…).

Et comme elle continue à fumer, la première raison est supérieure à la deuxième. Comment faire ? Trouver une raison supérieure à la plus importante, la première.

Pour quelle raison arrêter la dépendance ?

Cette technique utilise des papiers au sol. Elle permet ainsi  une dissociation facile, favorisée en PNL. La personne se met sur un premier papier représentant son état désiré, quand elle aura arrêté de fumer. Voici la première question.

Quand tu auras arrêté de fumer, dans quel état seras-tu ?

La personne peut décrire son état : je respirerai plus facilement, je me sentirai plus joyeuse et adulte. Quand cet état cible est défini, allez sur un deuxième papier pour identifier la raison pour laquelle la personne veut arrêter de fumer.

Pourquoi X veut-elle atteindre cet état quand elle aura arrêté de fumer, joyeuse et adulte ?

Voici un exemple de réponse : elle veut se sentir libre. Ce qui est une réponse courante dans le cas de dépendance, se sentir libre de la dépendance.

Pour quelle raison continuer la dépendance ?

Tout comportement répond à une intention positive. Pourquoi continuer à  être dépendant de la cigarette. Posons la question en allant sur un 4e papier et en posant la question.

X continue à fumer. Pourquoi continue-t-elle ?

Votre interlocuteur peut répondre : parce que cela la calme, elle retrouve ainsi une paix intérieure. Ce qui est souvent le cas. La nicotine déstresse. L’individu ravale son énergie au lieu de la lâcher.

La question à 10 000 dollars

Comment trouver une raison ou une valeur supérieure à la paix ? En posant la question suivante…

As-tu une fois, dans ta vie, accepté de faire quelque chose, alors que tu n’étais pas en paix ?

Restez silencieux car il n’est pas facile de répondre à cette question. Vous pouvez la relire… Avez-vous, une fois dans votre vie, accepter de faire quelque chose, alors que vous n’étiez pas en paix.

Voici des réponses possibles à cette question magique :

  • J’ai accepté de rendre service à mon fils et je n’étais pas en paix.
  • J’ai accepté de passer un examen important pour moi.
  • J’ai accepté de refuser à ma fille de sortir car j’avais peur pour elle.

Dans tous les cas, vous allez dans une valeur supérieure à la paix recherchée par la dépendance :

  • Contribuer au bien être de personnes qui vous sont chères.
  • Donner du sens à sa vie.

Nous avons trouvé une valeur supérieure à celle qui pousse à continuer la dépendance !!! objet de cet article.

Pour aller plus loin :

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Connaissez-vous la réflexologie ?

Il y a plusieurs années, j’avais des paresthésies, des lancements dans la main droite. Je sentais comme un courant électrique en touchant la souris de mon ordinateur. Ma main s’engourdissait la nuit et m’empêchait de dormir. Après avoir consulté médecins et osthéopathes sans résultat, la solution est venue de la réflexologie. Trois séances… douloureuses ont suffi à ce que je sente une nette différence. Birgitta von Warburg, qui vit à Zürich, m’a appris cette technique et qui exerce en Suisse, m’a massé les zones du foie et de la rate pendant plusieurs heures, avec succès. Je dormis bien pour la première fois depuis longtemps.

La réflexologie est une méthode millénaire qui s’appuie sur la notion de points réflexes, qui n’ont rien à voir avec la Médecine Traditionnelle Chinoise. En massant certaines zones des pieds ou des mains, vous activez la circulation du sang dans des zones éloignées. La colonne vertébrale est au centre et les membres supérieurs et inférieurs sur les côtés, comme sur le dessin.

Un bref historique

Dans un livre paru en 1917, William Fitzgerald, médecin à l’hôpital de Boston, explique comment, en massant l’orteil droit du pied d’une chanteuse, celle-ci a pu chanter 2 notes de plus.

Il a dessiné les correspondances entre les zones du corps et les zones du pied et est considéré comme le pionnier de la réflexologie moderne.

Les différences entre écoles

Les « cartes » de références ne sont pas toutes les mêmes. Voici les différences les plus notables.

Le genou et le coude

Comme vous le voyez sur le schéma ci-dessus, genou et coude sont au même endroit. Vérifiez sur les planches que l’on vous propose… et posez la question.

La place et la grosseur du foie

La plupart des auteurs placent le foie à droite, ce qui est normal. Mais il est rikiki… Alors que le foie est gros et déborde à gauche.

La place du coeur

Certains placent le point réflexe du coeur sous l’annulaire gauche, alors que le coeur est plutôt situé au centre. C’est parce que c’est le point du maître du coeur…. Birgitta l’a testé en prenant les pouls.

Dessus ou dessous ?

Vous avez les mêmes zones au-dessus et en-dessous, des mains ou des pieds. Au dessus, la peau est plus mince et plus accessible. Elle est aussi plus douloureuse.

Efficace ?

Des études ont été faites sur des femmes enceintes en Grande Bretagne ayant suivi 10 séances. Cela atténuait les douleurs et accélérait le temps de travail et d’expulsion des bébés….

Sinon, j’ai pu remarquer la différence sur les nombreux clients de Birgitta.

Combien de séances ?

Autant de temps que l’apparition du symptôme… En fonction du type de massage. Un massage comme Birgitta, avec un outil, est douloureux, mais efficace. La régularité est essentielle. Faites 3 séances avec un réflexologue et sentez la différence.

Vous pouvez masser vous-même la zone adéquate si vous avez la persévérance. Si vous avez le courage, un quart d’heure minimum par jour est nécessaire, une heure au début.

Comment savoir si vous êtes sur le bon point ?

Avec l’expérience, vous sentez une boule, vous entendez un son, vous baillez… ou pleurez des yeux, autant d’indication que vous êtes sur le bon point. Persévérez et concentrez-vous sur les points importants plutôt que de « papillonner ». Un diagnostic « MTC chinoise » aide grandement à aller au bon point, à l’élément faible.

Pour aller plus loin :

Si vous voulez approfondir la MTC (médecine traditionnelle chinoise) :

Connaissez-vous le recadrage en PNL ?

C’est un nom commun et une technique qui vient de la Programmation Neuro Linguistique (PNL). Vous changez le cadre de votre perception pour adopter un comportement différent.


Elle consiste à donner à votre interlocuteur un point de vue différent ou à faire appel à son imagination. La deuxième technique, qui vient de la Programmation Neuro Linguistique est plus « riche ». Illustrons ces 2 techniques par plusieurs exemples.

Recadrer simplement une croyance

C’est la technique la plus simple, vous offrez un point de vue différent à votre interlocuteur sur un événement ou un comportement. Elle est souvent utilisée en séance d’EMDR. Voici des techniques simples :

  • A une personne qui pleure la mort d’un conjoint, vous lui dites : « d’après vous, votre conjoint est-il plus heureux quand vous pleurez ou quand vous profitez de la vie ? »
  • A une personne battue petite qui se sent responsable de la colère de ses parents, vous lui dites : » si vous aviez des enfants, vous les rendriez responsables de votre colère ? »
  • A une femme qui vous demande « pourquoi suis-je toujours avec des hommes faibles, impuissants, menteurs, etc. ? » vous lui répondez « parce que tu les mérites »
  • A un parent qui se plaint de ses enfants…. « Vous avez du mal à accepter leur vie actuelle ? » ou « Comment pourriez-vous être en paix même si vos enfants vont mal ? » ou « Voulez-vous les voir responsables de votre état ? »
  • Une personne rescapée des camps pense « pourquoi pas moi ? » au lieu de « pourquoi moi ? »

Le recadrage PNL en 6 points

Cette technique est aussi appelée recadrage en 6 points. Développée par Bandler et Grinder, elle présuppose qu’un comportement a toujours une intention positive, quel que soit ce comportement, que vous fumiez, buviez, soyez en colère, mentiez, voliez… Vous aurez droit ici à une version simplifiée qui ne prend pas en compte tous les cas de figure….

Virginia Satir suppose l’existence de parties en nous. Une partie de nous est responsable d’un certain comportement, une autre est créatrice, une troisième peut s’opposer au changement de comportement…. Nous nous appuyons aussi sur cette vision de V. Satir.

Nous allons faire appel à une partie créatrice pour avoir un comportement différent qui remplit la même intention positive (IP).

1. Identifiez le comportement à modifier, ce que vous voulez faire ou arrêter de faire

Supposons que vous vouliez arrêter de manger quand vous êtes rassasié ou légèrement avant.

2. Rentrez en contact avec la partie responsable du comportement

Communiquez avec la partie responsable de votre comportement et établissez un signal oui/non avec elle.

2.1. Est-ce que la partie responsable du fait que je mange sans avoir faim veut bien rentrer en contact avec moi ?

Cela peut aider de mettre votre main sur la partie de votre corps en contact avec cette partie, votre ventre, votre tête ou votre estomac, au choix… Si elle répond de manière visuelle, auditive ou kinesthésique… poursuivez.

2.2. Peux-tu me donner un signal pour oui… et pour non ?

En effet, il est essentiel de pouvoir dialoguer avec elle. Si vous êtes fort, vous pouvez avoir tout un discours plutôt que oui ou non. Le plus souvent, la réaction est par un doigt (droite pour oui et gauche pour non) ou par un mouvement de la tête, en fonction de votre intuition.

3. Identifiez, consciemment ou non, l’intention positive de cette partie

3.1. Veux-tu bien me dire ton intention positive consciemment ?

Attendez la réponse… Si vous avez l’habitude de dialoguer avec vous-même, la réponse viendra facilement. Dans notre cas, la réponse est : « pour que tu restes plus longtemps à table ». Vous pouvez monter les intentions en demandant « pourquoi ? »… « pour que tu prennes du temps pour toi ». Vous pouvez aussi le faire au point 3.4.

3.2 Si la réponse est non, supposez que la réponse est inconsciente, que vous n’avez pas besoin de la connaître.

3.3 Etes-vous d’accord avec l’intention positive ? Si la réponse est non, montez dans les intentions positives. C’est tout un art de déboucher sur du positif. Un psythérapeute peut vous aider avec bonheur.

3.4 Demandez gentiment à la partie responsable si elle veut bien essayer une autre stratégie. Si vous êtes gentil, je ne vois pas pourquoi elle dirait non…

4. Trouvez d’autres comportements remplissant la même intention

Vous faites appel à votre partie créatrice pour imaginer plusieurs solutions et à votre partie responsable du comportement pour en sélectionner 3. Utilisez le « signaling » 2.2 oui/non pour être prévenu du résultat.

Comportements proposés : fumer, boire une tasse de thé, méditer sur la digestion, boire un café, manger une orange, faire un tour dehors.

Les 3 sélectionnés : boire une tasse de thé, méditer sur la digestion, faire un tour dehors.

5. Négociez avec la partie responsable des changements de comportement

Demandez-lui « es-tu prête à expérimenter les 3 comportements nouveaux ? » Si la réponse est non, recommencez l’étape précédente, sinon, passez l’étape qui peut être la dernière… si tout va bien.

6. Vérifiez si toutes les parties sont OK

C’est ce que l’on appelle l’écologie, la vérification que toutes les autres parties du corps sont d’accord avec les nouveaux comportements proposés. Cela vous évite de choisir un comportement que vous devrez recadrer plus tard. Vous  demandez à la cantonade : « une partie de moi s’oppose-t-elle à une des 3 solutions ? » Si la réponse est oui, recommencez en 4. Sinon, réjouissez-vous.

Pour aller plus loin

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Le pouvoir des photos Irisame

Voici un article écrit par Catherine Mayet, qui pratique cette technique appelée Irisame

Je contemple une fleur de rhododendron rose. Immédiatement je ressens une piqure sur le côté gauche de ma poitrine. De nombreux soupirs et bâillements s’enchainent, un léger mal de tête m’envahit, je décide alors de m’allonger sur le lit.

A mon grand étonnement je me réveille 30 mn plus tard, une forte lumière jaune dans les yeux. Les douleurs ont disparu, je me sens légère, en paix et pleine d’énergie. Je comprends… Cette fleur est liée à ma mère décédée depuis longtemps. Cette photo du rhododendron rose est liée à la relation avec notre image maternelle.

Le phénomène Irisame

La contemplation de certaines photographies allège des souvenirs pénibles conscients ou inconscients. Cette méthode s’adresse aux personnes qui aiment être à l’écoute d’eux-mêmes. Ce phénomène, appelé Irisame, apporte la paix, élimine la culpabilité ou les fatigues d’origines anciennes. La photo choisie permet de remonter à la racine en conscience. Les effets se présentent en général sous la forme de bâillements ou de frissons.

  • Une cliente s’est ainsi souvenue d’un conflit ancien, sa démission de l’entreprise, source de son manque de dynamisme actuel plus de 15 ans après l’événement.
  • Une autre, face à une rose rose a fondu en larmes. Cette image a réveillé en elle le souvenir d’un deuil ancien et l’a ensuite emmenée à la maladie actuelle de son père. Après la séance elle s’est sentie soulagée et  apaisée.
  • Une troisième a ressenti pendant 3 semaines les effets d’une photo de peuplier sur des fractures qu’elle avait eues lors d’un accident de voiture ancien. Comme les ressentis étaient trop intenses, elle a gardé la photo sur sa table de chevet. L’information vibratoire transmise par la photo a amélioré son bien être.
  • Une autre s’est souvenue de la culpabilité qu’elle ressentait petite fille.

Imaginez une bulle d’air chargée du passé qui remonte à la surface pour mieux s’éliminer. Quand la bulle émotionnelle éclate à la surface, la douleur s’évanouit.

Les effets

Irisame élimine aussi les tensions liées aux transports en commun, soumis aux champs électriques, magnétiques, au bruit, aux odeurs etc …

Les praticiens de tai chi ou de médecine chinoise, ou les personnes ayant un ressenti intérieur sentiront nettement les méridiens concernés par la photo. Par exemple une photo de plage a des effets sur le méridien de la vésicule biliaire. Celle d’un coucher de soleil agit sur l’élément Rein Vessie : l’énergie part de la plante des pieds, monte aux reins par la colonne vertébrale, jusqu’à la tête pour redescendre sur le devant du corps.

Cette image ouvre un dialogue avec votre conscience

La contemplation d’une photo vous met en contact avec votre histoire émotionnelle. Lors d’une séance, des émotions ou des douleurs momentanées resurgissent. La photo résonne avec ce qui est resté en souffrance et non résolu,  consciemment ou non.

  • Le rhododendron rose est lié à un manque de dynamisme.
  • Le pavot violet est lié à la culpabilité.
  • Une photo de plage est lié au méridien de la Vésicule Biliaire.
  • Celle d’un coucher de soleil à Percé est lié au méridien du Rein.
  • Celle d’un peuplier agit sur le corps, sans interférence extérieure.

Notre corps garde en mémoire ce qui nous a heurté et ces « cristallisations » se mettent en mouvement lors de la contemplation d’une photo choisie.

Le processus Irisame

Voici les différents effets que vous pouvez ressentir :

  • Un allègement des stress et de la fatigue d’origine psychique.
  • L’émergence de qualités qui nous manquent
  • La compréhension de comportements inadaptés.
  • Une dépollution des tensions nerveuses  d’origine diverses.
  • Un accès à la méditation.
  • Une reconnexion à l’harmonie, à la paix intérieure.

Pour en savoir plus, contactez Catherine Mayet au 06 19 28 40 20 ou consultez ses 2 sites :  La photo qui vous parle ou IrisameVous pouvez aussi laisser un commentaire.

Comment se débarrasser de ses pensées négatives ?

Vous avez des idées récurrentes qui ne mènent à rien ? Vous vous faites un sang d’encre pour vos enfants, vos parents, votre famille ou pour toute la planète ? Comment faire pour arrêter le processus ?

Se poser des questions en permanence fait baisser l’énergie et perdre la connexion avec le temps présent, son centre et son âme… Comment arrêter ce processus énergétivore ? En revenant dans le temps présent grâce aux 5 sens, en « musclant » son esprit ou en soignant son corps.

Avec les 5 sens

Vous arrêtez de vous fixer sur le passé ou l’avenir en reprenant place dans le présent en faisant appel à un ou plusieurs sens de votre corps.

Avec un seul sens :

Passons en revue le kinesthésique, le visuel et l’auditif, un peu de VAKO

1. En jouant avec votre corps

Voici quelques techniques…

  • Le plus facile et le plus courant est de prendre conscience de sa respiration…  C’est le plus simple, vous vous concentrez sur votre respiration, sur l’inspir et sur l’expir. A l’expir, vous vous détendez et chassez les pensées. Le yoga et le pranayama sont des techniques centrées sur la respiration.
  • Vous pouvez aussi changer la position de vos yeux pour vous centrer et arrêter votre dialogue interne…
  • Vous pouvez vous concentrer sur votre respiration pour calmer votre coeur grâce à la cohérence cardiaque.

Toutes ces techniques sont efficaces, à condition de vous entraîner.

2. En faisant venir une image.

Vous avez plusieurs techniques visuelles à votre disposition :

Vous en trouverez sûrement d’autres. 

3. En émettant une pensée « contre-feu »

Là aussi, vous avez l’embarras du choix. En cas d’apparition intempestive de pensées négatives vous pouvez penser :

L’important n’est pas tant ce que vous dites que l’intention qui y est associée.

En combinant vos sens :

Voici 2 exemples :

  • Respiration et pensée : telle que Stop mental. En visualisant une rose sous le nez dont on respire la senteur.
  • Image et pensée : visualisez vos pensées sous forme d’image, comme un nuage qui s’en va, poussé par le vent. La circulation de la respiration dans le corps, inspirez dans les mains, dans les pieds, soufflez dans les pieds ou dans les mains.

Vous avez un audio complet sur le site divine lumière.

En prenant soin de son esprit

Après avoir découvert comment faire face « instantanément » aux pensées négatives, vous pouvez vous en occuper en allant à leurs racines, les traumas qui en sont à l’origine et en augmentant votre résistance à la rumination.

1. En cicatrisant le passé

Un trauma engendre une pensée négative. La plus courante est « je suis en danger ». Passer de la peur du danger à la paix est un processus clé. La technique la plus efficace est l’EMDR. Elle traite le trauma et la croyance négative.

2. En étant en paix avec ses parents

Si vous êtes en paix avec vos parents, vous êtes en paix avec la vie. Les constellations familiales favorisent ce processus.

3. En méditant

En prenant du temps pour vous, vous entraînez votre esprit à faire le vide. Vous avez un audio complet sur le site divine lumière.

4. En cherchant le besoin correspondant

Tenez un journal de bienveillance dans lequel vous notez :

  • Vos états désirés de la journée.
  • La célébration de ce qui vous a plu, des besoins que vous avez satisfaits.
  • Le deuil de ce qui vous a déplu, des besoins que vous n’avez pu satisfaire.

Vous pourrez ensuite vous connecter plus facilement à ce qui est vivant en vous, vos besoins et trouverez plus facilement le besoin à satisfaire derrière la pensée négative.

En soignant son corps

Un corps « faible » ne peut vous aider. Il est recommandé de vous en occuper si vous voulez rester tonique dans vos pensées.

1. En pratiquant une activité physique

Faites de l’exercice une demi-heure par jour. L’activité physique est « anti-dépresseur », améliore les réflexes, la mémorisation, la digestion…. Pratiquez les Les 5 tibétains : Secrets de jeunesse et de vitalité. Regardez la vidéo correspondante.

2. En mangeant sainement

Mâchez 50 fois, évitez de manger de la viande qui demande du temps à être digérée, mangez légèrement le soir avant de vous coucher, mangez assis, buvez 1,5 litres d’eau par jour, jeûnez de temps en temps.

Vous avez d’autres conseils dans le livre de Deepack Chopra Santé parfaite – Guérir, rajeunir et vivre heureux avec la médecine indienne

3. En surveillant votre foie

En Médecine Traditionnelle Chinoise, la « rumination » est liée à la rate. Nettoyer votre foie, qui est notre centrale chimique d’épuration, vous fera perdre du poids et améliorera votre légèreté de l’être. Nous en avons pratiquement tous besoin.

Vous pouvez lire :

Vous avez pu faire connaissance avec de nombreuses techniques. Commencez dès maintenant avec celle qui vous semble la plus facile, puis, persévérez. Comme le dit Bert Hellinger :

Il faut être courageux pour être heureux.

Alors profitez de la vie. Si vous avez des remarques, laissez-moi un commentaire…

Connaissez-vous le carré magique ?

Vous avez un projet qui vous tient à cœur ? Vous aimeriez y voir plus clair ? Voici le carré magique, que j’ai appris avec Olivier Lockert.

Que représentent les lignes horizontales et verticales ?

  • Les lignes horizontales représentent le temps : en haut l’avenir, au milieu le temps présent et en bas le passé.
  • Les lignes verticales représentent des personnes : à gauche des amis, à droite des guides et au milieu, vous-même.

Comment l’utiliser ?

Chaque carré représente une position. Allez d’abord dans le passé, puis le présent et enfin l’avenir et revenez au centre… De 1 à 9.

 

Ange gardien

Vous-même

Ami

Futur

6

7

8

Actuel

4

9

5

Passé

1

2

3

  •  Commencez par le passé. A gauche, un « ange gardien » vous donne un conseil sur votre projet, puis vous-même, enfant vous donnez un conseil. Enfin, c’est un ami d’enfance qui vous donne encore un conseil.
  • Ensuite, vous avancez et découvrez des conseils d’un ange gardien d’aujourd’hui, vous sautez votre case et allez vers un ami de maintenant.
  • Enfin, vous passez à l’avenir : un ange du futur, vous-même plus âgé, ayant accompli le projet et un ami du futur.

Puis vous vous mettez au centre et recevez les conseils de toutes ces personnes.

Un exemple…

Une femme veut écrire une nouvelle sur la recherche d’emploi.

Dans le passé :

  • Son ange gardien lui dit : C’est faisable. Fais-toi plaisir. Tu as appris à aimer les chats. Cherche un stage d’écriture pour te tranquilliser.
  • Elle-même à 7 ans : écris-le pour d’autres de façon rigolote avec des jeux de mots. Il faut que ce soit amusant. Souviens toi des farces du chat peau. Utilise la créativité de l’enfant.
  • Son ami : Fonce, fais le pitre « fumiste, fumier » en cours de musique. Tu peux faire passer la vie.

Dans le présent :

  • Un ange-gardien actuel : tu en es capable. C’est en écrivant que l’on apprend à écrire. Tu peux être heureuse de ce que tu fais. Une demie heure le matin en se levant.
  • Un ami : fais-le, va jusque au bout de ton envie. A chaque fois que tu nous as raconté des histoires, tu nous a fait rigoler. Tu as de l’humour, souviens-toi de tes histoires du Japon.

Dans l’avenir :

  • Un ange gardien du futur : c’est un métier, il y a des codes et des astuces. Persévère, tu peux approfondir. C’est comme le début d’une nouvelle vie.
  • Elle-même : contente, heureuse, sensation dans la poitrine et dans les jambes. Mets le réveil à sonner une demi heure avant, note les idées sur un carnet à la main, écris à l’ordinateur pour le modifier.
  • Un ami : tu as réalisé ton projet, tu vas nous laisser tranquille. Continue, garde cette habitude d’écrire tous les matins. Cela peut être une obligation au début, après cela peut être du plaisir

Revenir au centre et prendre tous les conseils un à un et sentez ceux qui ont le plus d’influence…